« Suite à une douleur atroce et qui devait d’ailleurs précéder une opération chirurgicale bénigne, certes, mais absolument fragile, l’auteure (Marnatha Irène Ternier) de cet ouvrage de fiction littéraire sur la double problématique des transes et des masques dans notre société, a dû affronter l’expérience unique de toute une vie », a écrit Pradel Henriquez, le préfacier du livre.
Allant plus loin dans ses révélations, il inscrit dans son texte d’introduction et de présentation au lecteur : « C’est ainsi que ce livre a donné corps quasiment à une dictée imposée à son auteure, par plusieurs entités non nécessairement palpables et visibles et surtout, par UN mort qui n’est pas mort… »
Cette aventure douloureuse et touchante de l’auteure nous a portée à découvrir cet ouvrage. En outre, suite à cette information que Pradel Henriquez a distillée sous la forme de confidence, on brûlait d’envie de rencontrer Marnatha I. Ternier autour de la Trans des masques.
Sensible au contenu de ce livre, on se dit tout de même : il faut avoir un besoin constant de l’art pour tirer le sujet d’un livre dans une mine de douleur.
C’est en plein air, dans le décor de l’hôtel Karibe, Juvénat, dans le cadre de la 30e édition de Livres en folie, que nous avons posé notre caméra sur Marnatha I. Ternier. Voici la vidéo.