L’ONG Solidarité internationale, dans un rapport publié le week-end dernier a relaté que l’école nationale Darius Denis, au Bois Berna, dans la commune de Port-au-Prince, fait partie des nombreux sites de déplacés nouvellement créés suite à l’augmentation des actes de violences survenues à partir du 20 février dernier. Selon les données communiquées par la Direction générale de la Protection civile, ce camp accueille environ 336 ménages. Ces déplacés proviennent pour la plupart de l’Ecole Nationale République du Brésil, Savane Pistache, Grand Rue, rue Chavanne et Marché Salomon. Parmi les déplacés, on compte de nombreux enfants et femmes (dont des femmes enceintes), et des personnes en situation de handicap. Ces derniers ont besoin d’une réponse d’urgence pour les aider à faire face à de nombreux défis : manque d’eau de boisson et de service. Les déplacés font face à des problèmes liés à l’assainissement. En outre, une carence de kits d’hygiène est soulignée dans ces espaces où les soins de santé primaire sont à prendre en compte.
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