Par Erold Joseph
Il existe généralement trois attitudes face à l’existence. Il y a d’abord l’attitude de ceux qui ont trouvé ou, du moins, croient avoir trouvé définitivement la réponse. Cette dernière, ils l’auraient obtenue soit dans une religion, soit dans l’athéisme, le scientisme, le marxisme, le capitalisme, ou dans un «isme » quelconque. Il s’agit de « gens de foi », fidèles à leurs croyances, dogmatiques, souvent portés au prosélytisme. Un deuxième comportement s’observe fréquemment. C’est celui de l’homme qui ne s’est jamais interrogé, ne s’interroge pas, n’ose pas s’interroger, car il a à la fois peur de trouver, peur de ce qu’il pourrait trouver et peur de ne pas trouver. Quant à la troisième attitude, c’est celle des chercheurs, des audacieux, engagés dans une quête constante et qui abordent la question avec courage, ouverture d’esprit et sans idée préconçue.
Si l’on veut comprendre la vie, il faut commencer par appréhender la mort. Vos choix, vos décisions, votre attitude dans la vie dépendent, consciemment ou non, du sens que vous accordez à la mort. Signifie-t-elle la destruction totale, la néantisation ou la continuation de l’existence? Que se passe-t-il en ce moment ultime? La « religion sans preuve et la science sans espoir », pour répéter Edouard Schuré et Bertrand Russell, ont tenté d’apporter leur réponse, mais n’ont fait trop souvent qu’augmenter la peur, le désarroi et la confusion. (1) et (2)
Qu’est ce que la mort?
Dans un lointain passé, seul le prêtre pouvait déclarer qu’une personne était décédée. Plus tard, malgré l’apparition et l’évolution de la science, on a commis beaucoup d’erreurs en ensevelissant des gens qui n’étaient pas vraiment morts. Cela arrive encore aujourd’hui même, particulièrement dans certains pays pauvres comme Haïti, qui ne disposent pas de toute la technologie médicale moderne. Parfois dans les pompes funèbres, ces malheureux qui se réveillent de la mort ou d’une « pseudo-mort », sont fréquemment achevés par les croque-morts, comme cela se passait autrefois, et comme en témoignent souvent les employés de ces entreprises, mais avec beaucoup de discrétion. Une telle attitude est due en grande partie à la superstition, à l’ignorance, mais surtout à la peur pathologique de la mort.
Cette dernière serait donc la « cessation de toutes les activités vitales et biologiques ». Mais, une telle définition ne résout point le problème, car elle ne fait que définir un concept, un état, par son contraire. La mort serait donc l’absence de vie. Et qu’est-ce que la vie? Comment sait-on que toutes les activités vitales ont cessé? Dans les premiers temps, pour déterminer si une personne apparemment inconsciente était vraiment décédée, on la pinçait ou on lui mordait le gros orteil : simple test de sensibilité. La grande question est la suivante: à quel moment peut-on déclarer de façon irrémédiable et irréversible, qu’une personne est décédée, qu’elle est « parfaitement morte » ? D’où le concept médical de « mort clinique » lequel a évolué au fil du temps et des progrès de la technologie médicale. (3)
A une certaine époque, l’arrêt respiratoire était considéré comme le témoin le plus sûr du passage de vie à trépas. Si un miroir placé devant la bouche du mourant ne se couvrait pas de buée , on en concluait à la mort, car cela voulait dire qu’il n’y avait pas d’émission de vapeur d’eau et de gaz carbonique, donc pas d’expiration. Plus tard, on a jeté le dévolu sur le cœur qui pompe le sang dans tout l’organisme. L’arrêt cardiaque a, dès lors, été utilisé comme critérium puisque c’est le cœur qui pompe le sang oxygéné dans tout l’organisme. Avant la découverte du stéthoscope par Laennec, l’on se contentait de poser l’oreille sur la poitrine du mourant afin de déceler d’éventuels battements du cœur. Puis ce nouvel instrument a été utilisé jusqu’à l’apparition de l’électrocardiographie. Désormais, un tracé électrique plat du cœur signait le passage dans l’autre monde. On s’est par la suite rendu compte de la prééminence du cerveau, siège présumé de la pensée et de la conscience. Un électroencéphalogramme plat, surtout associé à un électrocardiogramme de même nature, devenait, dès lors, le signe pathognomonique (définitif) de la mort. Ainsi, les critères ont évolué avec le temps et, poser le diagnostic de mort est devenu désormais l’apanage du médecin. Pourtant, la vie et la mort conservent obstinément leur mystère… (4) et (5)
Que se passe-t-il après la mort ?
A défaut de pouvoir définir la mort, tentons au moins de la décrire. Voilà un individu hospitalisé dont les médecins viennent juste de proclamer le décès dans un centre de santé bien équipé. Sa respiration s’est arrêtée. Son cœur a cessé de battre. L’électrocardiogramme affiche un tracé plat de même que l’électroencéphalogramme. Les pupilles sont dilatées, ce qui traduirait encore la suspension d’activité cérébrale. Il est donc bel et bien mort selon le credo de la science. Sa pensée et sa conscience, conformément à la théorie matérialiste, ont été annihilées. L’individu n’existe donc plus et ne devrait pas pouvoir penser. N’était une question de temps, il aurait pu être à la morgue.

Et pourtant, Roldy « entend » le médecin décréter sa mort. Il perçoit au préalable un bruit désagréable et se sent projeté à travers un tunnel obscur avant de se retrouver soudain hors de son corps physique. Il est maintenant au plafond et observe ce corps inerte, allongé sur une table, relié à des tubes en caoutchouc, dans une grande salle éclairée, et sur lequel médecins et infirmières s’acharnent. Bouche à bouche. Massage cardiaque. Qui est cet homme inconscient? Mais, il porte sa bague de mariage! Et ce bracelet au poignet gauche, c’est le sien. C’est Ginou, sa femme, qui le lui a offert récemment à l’occasion de son anniversaire de naissance. Mais, ce nez, cette bouche; c’est son nez, c’est sa bouche. Mais, c’est lui, Roldy! Qu’est-ce qui lui arrive? Il s’approche de ces gens en blouse blanche qui s’affairent sur son autre lui-même pour leur demander d’arrêter, pour essayer d’obtenir une explication. Mais, bizarre! Son « bras » passe à travers eux, à travers les appareils. Il essaie de leur parler et ils ne se rendent même pas compte de sa présence. Maintenant, il se rappelle! Ce terrible accident de la circulation. Sa tête heurtant violemment le pare-brise. Le sang qui lui coule du nez. L’ambulance. Mais, Ginou, doit être encore dans la salle d’attente de l’hôpital. Il essaie de sortir de la chambre de réanimation. Sa main traverse la poignée de la porte. Il essaie prudemment une jambe qui franchit la structure en bois. Le voilà directement dans la salle attenante. On dirait qu’il suffit de penser à un endroit pour s’y trouver! La jolie Ginou est là, les cheveux tressés arrivant à hauteur du cou, la mine soucieuse. Elle porte la jolie robe mauve, légèrement courte, celle qu’il préfère ou qu’il préférait. Relativité du temps. Il va au-devant d’elle pour l’étreindre. A peine un pas les sépare. Il la traverse comme un écran de fumée et elle ne s’en aperçoit même pas. C’est donc cela, la mort? Ne plus pouvoir communiquer avec son entourage! Ne plus avoir prise sur le matériel!
Au même moment, il aperçoit un point lumineux situé à une certaine distance. C’est drôle! Il se sent fortement attiré par ce point. Il se dirige vers lui. Maintenant, il est dans cette Lumière vivante, non éblouissante, remplie d’un amour infini. Est-ce le Christ? Est-ce Bouddha ou Krishna? L’essentiel, il se sent bien et voudrait demeurer là ! En un éclair, il revit sa vie, ou du moins les périodes les plus importantes. Il se revoit à dix ans, à l’école, chez les Frères de l’instruction chrétienne, en train de frapper un petit camarade. Ce dernier roule sur le gazon et crie. Mais, lui, demeure insensible et le frappe fièrement sous les applaudissements des autres. Il a honte et n’ose pas regarder cette Lumière, qui pourtant ne le juge pas. C’est lui qui se juge lui-même. Ses bonnes actions, il en revoit quelques-unes, comme à trente ans, lorsqu’il a payé une année d’études scolaires pour ce garçon dont le père venait d’être assassiné. C’est comme s’il repassait le film panoramique de sa vie en étant acteur, spectateur et juge tout à la fois. Les actes positifs le rendent heureux, alors que les négatifs l’attristent profondément.

Il perçoit, à présent, une sorte de rivière laquelle symbolise une frontière. Il sent, il sait qu’en la traversant, il rejoindra définitivement cette Lumière-amour. Il veut le faire. Il se sent si bien, dans cette Lumière. Mais, il revoit l’image de Ginou, inquiète à l’hôpital, seule, inconsolable, sans progéniture, sans support moral. Il revoit les visages des pauvres petits de cette organisation qu’ils ont créée tous deux pour venir en aide aux enfants orphelins d’Haïti. Il doit faire marche arrière. Il a encore à faire avant de partir.
« Il est revenu! Il est revenu! On a réussi. »
Roldy voit quatre visages penchés sur lui.
-« Pourquoi m’avez-vous ramené ? » bégaie-t-il . Le personnel de santé, lui, est heureux d’avoir ressuscité son patient. Les miracles de la science, de la médecine! (6)
L’EXPÉRIENCE DE MORT IMMINENTE, UNE BRÈCHE GÉANTE DANS LE MATÉRIALISME SCIENTIFIQUE
Roldy venait de vivre une Expérience de mort imminente (EMI), une Expérience aux frontières de la mort (EFM), une Expérience de proximité de la mort (EPM) ou, encore ce qu’on dénomme actuellement dans le langage anglo-saxon une « near death experience » ( NDE). Sa vie en sera entièrement révolutionnée. Désormais, il n’aura plus peur de la mort et sait qu’elle n’est point la fin dernière. Il s’intéressera beaucoup moins aux choses matérielles et accordera priorité à ses relations avec autrui, à l’amour, la connaissance, la philosophie, la spiritualité, la compréhension du sens de la vie. Il sait désormais que la vie de chacun d’entre nous sur terre est comptée, que nous devons en profiter pleinement, utilement, et que seul l’instant présent nous appartient. Cette métamorphose est constante chez tous ceux qui ont vécu une EMI ou une NDE.
Depuis les publications du Dr Elizabeth Kubler-Ross, (7) et (8), depuis le best-seller du Dr Raymond Moody de l’Université de Virginie, intitulé « La vie après la vie » et paru dans les années 70, (9) l’attention du monde scientifique a été attirée sur ces rescapés de la mort, déclarés cliniquement décédés et qui, ramenés à la vie grâce aux techniques modernes de réanimation cardio-pulmonaire, rapportent une histoire similaire à celle de Roldy. Selon un sondage réalisé en 1993 par l’Institut Gallup, entre 12 et 15 millions de personnes aux USA ont vécu une Expérience aux Frontières de la Mort. Soulignons que George Gallup, le père de cet Institut décida de mener cette enquête après avoir vécu lui-même une NDE. Aujourd’hui, à la faveur des réseaux sociaux, les témoignages abondent. Ces expériences de mort imminente (EMI) sont interprétées par certains hommes de science comme des hallucinations provoquées soit par une maladie neurologique, soit par certaines drogues comme la morphine que l’on administre aux patients en phase terminale. D’autres attribuent ces visions à la sécrétion par l’organisme de substances chimiques nommées endorphines, ce en réponse à l’anoxie cérébrale. Mais, comment expliquer les visions à distance dûment vérifiées ultérieurement et rapportées par les « expérienceurs » souvent à des dizaines ou de l’enquête de plusieurs années réalisée aux États-Unis et en Inde par une équipe internationale de chercheurs ayant à leur tête deux médecins également docteurs en philosophie, Karlis Osis et Erlendur Haraldsson ? Ces derniers répondent clairement à cette question. Si certains patients à l’approche de la mort sont l’objet d’hallucinations d’origine pharmacologique ou neuropathique, ces dernières sont décousues. Elles s’avèrent nettement différentes des expériences aux frontières de la mort (EFM) lesquelles frappent par leur cohérence et leurs caractéristiques universelles, quelle que soit la nationalité ou l’obédience religieuse des « expérienceurs ». Le livre « Ce qu’ils ont vu au seuil de la mort » est donc un outil scientifique important pour toute personne intéressée à une approche rationnelle du phénomène.(10) Deux investigateurs américains, Kenneth Ring et Sharon Cooper, ont étudié dans les années 80 des cas d’expérience de mort imminente (EMI) chez des aveugles, dont des aveugles de naissance (ignorant donc tout de ce qu’on appelle la vue). Ces non-voyants ont relaté des phénomènes identiques à ceux rapportés par les voyants : sortie du corps, tunnel, Lumière, etc. Bien mieux, plusieurs de ces sujets aveugles ont pu décrire, avec un luxe de détails, les vêtements de leur entourage, les leurs, et tout ce qui s’était passé durant la période où ils étaient cliniquement morts. (11) Et que dire des « expériences dites de mort partagée » rapportées par le Dr Raymond Moody dans son dernier ouvrage paru en 2010 et intitulé : « Témoins de la vie après la vie ». Des proches d’un mourant, et souvent des membres du personnel hospitalier, font à son chevet, la même expérience que lui au moment de son décès présumé. Ils le voient sortir de son corps et sortent eux-mêmes du leur, voient ses proches antérieurement décédés, revivent, en même temps que lui, des passages de sa vie souvent inconnus d’eux, etc. Et pourtant, ils n’étaient ni sous médication, ni en anoxie cérébrale! (12)
Aujourd’hui, la thanatologie (étude de la mort), est devenue une discipline scientifique et de nouvelles découvertes apparaissent sans cesse dans le domaine. Déjà, En décembre 2001, Le prestigieux journal médical « The Lancet » publiait un article relatant l’étude hollandaise menée par le docteur P. Van Lommel, sur les patients cardiaques en état de mort clinique et ramenés à la vie par réanimation . Tirons cette phrase des conclusions et discussions de cette remarquable recherche :
« Le concept jusqu’ici présumé mais jamais encore prouvé, d’après lequel la conscience et les souvenirs seraient localisés dans le cerveau devrait être reconsidéré. Comment une personne peut-elle expérimenter une conscience claire en dehors de son corps au moment où le cerveau ne fonctionne plus, durant une période de mort clinique avec des électroencéphalogrammes plats ? »
Quelque chose de nous-mêmes persisterait-il après la mort? Les NDE ouvriraient-ils une porte sur la survie? De plus en plus de chercheurs adoptent aujourd’hui cette conclusion qui risque d’ébranler les assises du paradigme scientifique.
La mort chez les anciens
Et pourtant les NDE ne datent point d’aujourd’hui. De l’Antiquité à nos jours, de nombreux cas ont été rapportés par Platon, Plutarque, Bède, le pape St- Grégoire le Grand, Léon Tolstoï, Carl Gustav Jung, le père de « l’Inconscient collectif » qui aurait vécu lui-même une EMI. Le manque de technologie empêchait, à l’époque, leur étude précise.

Il est par ailleurs étonnant que divers éléments des descriptions rapportées par les rescapés de la mort (décorporation, être de lumière, etc.) figurent dans des textes antiques, religieux ou mystiques, comme la Kabbale, le Livre des morts égyptien, le Livre des Morts Tibétain (plus connu sous le nom de Bardo Thodol). Selon les enseignements contenus dans ces documents, il existerait plusieurs réalités ou plans. Au plan physique, correspond le corps physique, instrument de perception de la réalité physique. Au plan astral ou éthérique, correspond le corps éthérique ou astral que les Égyptiens appelaient le Ka et les vodouisants le « bon ange ». Les deux plans normalement ne s’interpénètrent pas car leur fréquence est différente , bien que certains sensitifs comme les « médiums », les voyants et d’autres « expérienceurs » aient la possibilité de communiquer avec le plan éthérique. À la mort, le corps astral se détacherait de son homologue physique. C’est le phénomène de « décorporation » ou « sortie astrale » ou « out of body experience » vécu par les mourants qui, « revêtus de leur corps éthérique » immatériel, observent leur corps physique mais n’arrivent plus à communiquer avec leurs proches. Mais, ce double éthérique, nous dit le bouddhisme, est appelé à se dissoudre dans la Claire Lumière. Toutefois, des attaches matérielles trop fortes peuvent retarder ce processus. Le décédé ne réalise point (notamment quand la mort a été brutale, inattendue) qu’il vient de laisser le plan terrestre et peut alors continuer à errer, voire à se manifester dans son entourage, comme cela a été signalé dans certaines zones, par des témoins, après le séisme du 12 janvier 2010. C’est d’ailleurs ce qui explique le phénomène des maisons et lieux hantés. Ecoutons « Le livre des morts tibétain », écrit plus de cinq siècles avant Jésus-Christ, s’adresser directement au mourant :
« La clarté fulgurante de la Lumière Vide et Sans Couleur, va avec une rapidité plus grande que celle de l’éclair, t’apparaître et t’envelopper… Sache que tu as abandonné le corps que tu as animé. Regarde-le… Il git, inerte. » (13)
Selon le bouddhisme, l’hindouisme, la Rose-Croix la franc-maçonnerie et le christianisme primitif, l’être humain serait un esprit, une âme, (une Conscience) habitant provisoirement un corps physique qu’il abandonnerait au moment du décès avant de se réincarner à chaque fois dans une nouvelle enveloppe charnelle jusqu’à atteindre la perfection spirituelle. Il n’y aurait donc pas de démarcation nette entre mort et vie. Le passage de l’une à l’autre serait une transition, un « bardo » selon la philosophie bouddhique. Ce cycle de renaissances se répéterait dans notre monde de rêve illusoire ou « samsara », autant de fois que nécessaire, jusqu’à la Perfection ou Eveil ou « Nirvana ». Alors, notre Conscience rejoindrait la « Conscience Cosmique » (Dieu) dont nous serions tous une émanation, une parcelle.
Aujourd’hui, la science serait-elle en train de redécouvrir, à travers l’étude des expériences de mort imminente (EMI), cette vérité, cette sagesse originelle que différentes religions auraient égarée en cours de route? Chercher constamment à se connaître, tout en pratiquant « la plus large tolérance dans la plus stricte indépendance », c’est le choix de la vraie spiritualité…
Notre prochain thème sera la Réincarnation.
Erold Joseph est pneumologue, expert en santé publique, santé scolaire et promotion de la santé
e-mail :eroldjoseph2002@yahoo.fr et eroldjoseph2002 @gmail.com
RÉFÉRENCES
- Edouard Schuré, Les grands initiés (esquisse de l’histoire secrète des grandes religions),Renaud-Bray, 1989
- Bertrand Russell, Science et religion, Éditions Gallimard, 1971
- Dr Bruhier d’Ablaincourt, Dissertation sur l’incertitude des signes de la mort et l’abus des enterrements et embaumements précipités, 174
- Anne Carol, Une histoire médicale des critères de la mort, ,Communications 2015/2 (no 97), p45-55
- Anne Carol, Les médecins et la mort, Éditions Gallimard 2004
- Dr Pirn Van Lommel, Ruud van Wees, PhD, Vincent Meyers, PhD, Ingrid Elfferich, PhD, Near Death Experience in survivors of cardiac arrest : a prospective study in the Netherlands, the Lancet, December 15, 2001
- Dr Elizabeth Kubler-Ross, Les derniers instants de la vie, Éditions Labor et Fides, 1989
- Dr Elizabeth Kubler-Ross, La mort est un nouveau soleil, Éditions Pocket, 2002
- Dr Raymond Moody La vie après la vie , Babelio, 1975
- Karlis Osis et Erlendur Haraldsson, Ce qu’ils ont vu au seuil de la mort, Éditions du Rocher,1982
- Kenneth Ring, PhD and Sharon Cooper, Mindsight: Near-Death and Out-of-body, Experiences in the blind, 2008, Amazon (second édition)
- Raymond Moody, Témoins de la vie après la vie, Édition Robert Lafond,2011
- Sogyal Rinpoché, Le livre tibétain de la vie et de la mort, Édition La table ronde, 2003
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