Reprise de la vie associative du RHJS à l’occasion de la journée internationale des femmes

Filet d'information

Au micro, Me Fedjine Joseph. À sa gauche Lovely Stanley Numa

Huit jours après la cérémonie d’investiture du nouveau comité directeur du Réseau Haïtien des Journalistes de la Santé (RHJS), l’association a donné le coup d’envoi à des activités intellectuelles qui, naguère, avaient dynamisé la vie associative de l’institution. Dans son local, le RHJS a organisé une causerie, le samedi 8 mars, pour donner un tremplin à la journée internationale des femmes.

Mettant en avant l’engagement qui appel au triomphe de l’égalité femmes-hommes, les Nations unies ont jeté leur dévolu sur ce thème : « Pour toutes les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation, l’occasion de réaffirmer l’engagement de l’État pour la cause ».

La secrétaire générale adjointe du RHJS, Wooselande Isnardin

L’idée autour de laquelle s’exerce la réflexion du jour, le Réseau l’a assorti à une proposition : « Le rôle des journalistes dans la promotion et la protection des droits de la femme dans le contexte actuel ».

Pour une telle activité, le RHJS a mobilisé une modératrice : la secrétaire générale adjointe du Réseau, Wooselande Isnardin et trois intervenants : Me Fedjine Joseph, co-auteur de « Lire Haïti et ses femmes de Madeleine Sylvain Bouchereau », Lovely Stanley Numa, la PDG de Impulse média et le secrétaire général du RHJS, Claude Bernard Sérant.

Le secrétaire général du RHJS, Claude Bernard Sérant

Chacun des intervenants a abordé le sujet de l’actualité sous un angle différent qui se rapporte au même dénominateur commun : un avenir féministe où personne n’est laissé pour compte.

Sur tous les tons est revenue cette formule de l’article 3 du Préambule de la Constitution de 1946, dans la Déclaration universelle des droits de l’homme : « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme. »

Une telle dimension de cette causerie au RHJS a donné lieu à un échange avec un public composé de journalistes et d’étudiants.

Texte     : Rédaction du RHJS

Photos : Junior Bazile

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