Le 96. 3 sur votre cadran c’est bel et bien Radio Monopole. Entièrement accessible en ligne, elle permet d’écouter le meilleur de l’actualité haïtienne dans les domaines suivants : culture, éducation, économie, technologie, sécurité, politique, santé, sport…. Monopole, c’est aussi l’image et le son à travers la chaine 5. Les deux : 96. 3 et chaîne 5 ne font qu’un : Radio Télé Monopole.
À partir de ce lundi 23 décembre décembre 2024, l’ancien ministre de la Culture et de la Communication, ancien directeur général de la Chaîne 5 (TELEMAX) et de la Télévision Nationale d’Haïti (TNH), Monsieur Pradel Henriquez est devenu le Président Directeur Général (PDG) du Groupe Communication Éducation Culture (GROUPE CEC). Par ailleurs, il est devenu le nouveau patron de la Radio Télé Monopole, 96.3 FM et de la Télé Monopole, chaîne 5.
Cette nouvelle concernant Pradel Henriquez, ancien Directeur Général du Musée du Panthéon National d’Haïti (MUPANAH), en 2004, apporte de la joie et de la satisfaction pour toute la République, les auditeurs (trices), ainsi que pour les téléspectateurs (trices) qui, à l’ère des nouvelles technologies de l’information et de la communication, sont toujours encore animés de la passion et de l’amour pour la radio et la télévision traditionnelles. Bon nombre d’entre eux estiment déjà que ce retour sur la scène médiatique de Pradel Henriquez, ex-patron de Telemax, peut être considéré comme un cadeau de noël.
L’arrivée de Pradel Henriquez à la tête de la Radio Télé Monopole (96.3 /chaine 5) entre dans le cadre de la formation d’une nouvelle structure associative et culturelle appelée à investir notamment dans trois (3) champs connexes dont la communication, l’éducation et la culture. Ayant une maîtrise avérée de ces axes susmentionnés, Monsieur Pradel Henriquez, Journaliste culturel, est très connu dans le milieu de critique littéraire, et de critique d’art.
Dans la même lignée, pour donner l’ampleur méritée à ce retour sur la scène médiatique traditionnelle, Pradel Henriquez, poète, auteur de plusieurs ouvrages de poésies, et d’un essai de plus de 900 pages paru aux éditions C3, intitulé « Déclin de la culture haïtienne, politiques culturelles et pratiques artistiques de 1986 à 2016 », se fait accompagner cette fois d’un Groupe de réflexions et d’actions sur la communication, l’éducation, les arts et la culture.
Le GROUPE COMMUNICATION ÉDUCATION CULTURE
(GROUPE CEC)
C’est un Groupe de réflexions et d’actions dans les domaines de la communication (et des médias), de l’éducation (non formelle) et de la culture, (incluant les arts). Il a un caractère plutôt associatif et bénévole.
Il comporte des membres actifs et des supporteurs, des conseillers, soit près d’une trentaine de professionnels (es) et d’universitaires , en Haïti et à l’étranger, qui se sont mis d’accord pour embrasser le bénévolat et se mettre au service d’une communauté haïtienne qui souffre, crève constamment et qui ne comprend pas toujours ce qui se passe autour d’elle, elle crie au secours et la jeunesse a besoin d’espérer. Elle a besoin de la moindre information sur son sort, elle a besoin du moindre loisir pour traverser les épreuves quotidiennes. Elle a besoin de mieux communiquer et de comprendre….
Siégeant à Delmas, le staff du Groupe Communication Éducation Culture (Groupe CEC) se compose de :
– Pradel Henriquez, écrivain, journaliste culturel, ancien Directeur de télévisions, DESS en Gestion et Politiques culturelles. (Fondateur). Il est le PDG du Groupe CEC;
– Frère Francklin Armand, Fondateur et Supérieur général de la Communauté des Petits Frères et des Petites Sœurs de l’incarnation (PFI- PSI). et Éducateur. (Supporteur);
– Max Jean Louis, journaliste, chroniqueur, Baccalauréat en Arts, MBA, Master en Business Administration. (Conseiller);
– Yves Paul Léandre, journaliste, professeur de communication, ancien directeur de l’information à la Télévision Nationale. (Membre fondateur);
– Marnatha Irène Ternier, romancière, Master en Sciences Politiques, MBA en Administration publique, spécialisation en Politique publique. (Membre fondatrice). Elle est Vice-présidente ;
– Emmanuel Jean François, Spécialiste de la communication (conseiller);
– Patrix Sévère, Agronome et Educateur
(Membre);
– Verly Sylvestre, linguiste et directeur de média, avocat, Professeur d’université, écrivain, auteur de l’ouvrage “la Cour de Cassation dans tous ses états”.
(Membre). Il est aussi Vice-président du groupe ;
– Mimose Louis Jeune, Sociologue, correctrice indépendante, conférencière intéressée à la problématique du « Genre » et en particulier, à la problématique des Violences faites aux Femmes. (Membre fondatrice);
– Rodlet Jean Baptiste, animateur culturel. (Supporteur);
– Madette Paul, Gestionnaire, licenciée en Sciences et Techniques de Management, MBA en Finance, Educatrice.
(Conseillère);
– Jean Emmanuel Jacquet, poète, ancien ministre de la culture et de la communication (membre);
– Aliette Henriquez, Gestionnaire et auteure de Nouvelles.
(Supporteure);
– Patrick Laurent, avocat et Fondateur du Salon du Droit.
(Conseiller juridique);
– Judikael Regnault, Doctorat en Philosophie, ancien Conseiller d’Ambassade et Chef de Mission diplomatique (supporteur);
– Juliette Barthes, artiste créatrice sur tissus, entrepreneure, peintre.
( supportrice);
– Agénor Cadet
Ancien ministre de l’éducation nationale.
Supporteur;
– Éric César, Conseiller envoyé Sécurité d’événements culturels;
– Stanley Vincent,
Auditeur comptable;
– Stéphanie Saint Louis
Cadre culturelle, actrice de cinéma et comédienne;
– Joel Lorquet, PhD en Communication. Ecrivain, journaliste, chanteur, animateur culturel. Conseiller.
Soit un Président Directeur Général et deux personnalités à assurer la vice-présidence du groupe, chacune ayant une dimension spécifique de responsabilités.
En outre, Jean Philippe Bélisaire, écrivain, auteur du roman intitulé “Ils s’aiment à Tiburon”, et Humbert Noelsaint , ancien Directeur de Programmation de la Télévision nationale d’Haïti (TNH) pourraient rejoindre aussi le Groupe Communication Éducation Culture comme membres et apporteraient ainsi leurs expériences à ce processus de réorientation de la Radio Télévision Monopole et à la mise en place, et à l’épanouissement du Groupe Communication Éducation Culture.
Pradel Henriquez a déjà dirigé la Télévision publique et la Télévision privée pendant 10 ans.
Il a fait en passant, presqu’un miracle en particulier à Télémax, lorsqu’il a fait de cette télévision privée sortie de rien entre 2002 et 2003, « la plus grande chaîne de télévision » (selon Ticket Magazine) entre août 2004 et août 2006, période où la chaîne 5 atteint quasiment son âge d’or, diffusait une information de qualité et donnait le ton aux loisirs et aux jeunes à travers une programmation de haut niveau.
Sauf que le contexte politique, socio-économique de nos jours, est beaucoup plus compliqué cette fois, et est marqué tantôt par une poussée vertigineuse de médias en ligne, tantôt par une explosion du cadran avec toutes sortes de radios, toutes sortes de télévision, et toutes sortes d’offres médiatico culturelles. Tandis qu’à l’ère de la puissante et agréable Telemax de Monsieur Henriquez, il y a de cela 20 ans, il n’y avait alors que cinq (5) chaines de télévision actives en Haïti.
Actuellement, Pradel Henriquez est hyper présent sur les réseaux sociaux et très puissant sur Facebook en particulier où il partage presque 24 heures sur 24 , des informations sur tout ce qui bouge en Haïti et dans le monde, à travers ce qu’il appelle lui-même, son Encyclopédie virtuelle.
Pradel Henriquez a un diplôme d’études générales en arts, avec une spécialisation en arts plastiques. Il a étudié aussi l’histoire de l’art et la philosophie esthétique. En République dominicaine, grâce à un programme de l’Union Européenne (UE), il a bénéficié entre 1999 et 2000, d’une formation en Administration culturelle de la région caribéenne. Tandis qu’en France, boursier du Gouvernement français, il a obtenu un DESS, Diplôme d’études supérieures spécialisées en Gestion et politiques culturelles, 1998. Il a aussi une formation en Management audiovisuel sous le label du Cirtef, Conseil international des télévisions d’expression française. Enfin, dans le cadre du projet de couverture nationale de la Télévision nationale d’Haïti qu’il dirigeait, il a pu suivre en 2010, aux États-unis, un stage de formation sur l’ensemble des Systèmes de Retransmissions.
L’information est confirmée :
Joint par téléphone, Pradel Henriquez confirme en effet que cette démarche est en cours depuis plus de cinq (5), mais qu’en particulier, depuis les quatre (4) dernières années, il a frappé à toutes les portes pour mettre sur pied ce Groupe qui serait alors encadré par un outil médiatique comme véhicule ou comme support à toutes formes de réflexions novatrices sur la culture , sur l’art, sur la communication et sur l’éducation.
Il ajoute que cette nouvelle expérience lui permettra de fonder réellement le Groupe Communication éducation culture (CEC), puis de travailler par ailleurs avec les équipes existantes à la radio télé Monopole , à l’observer, à la diagnostiquer, à l’évaluer et enfin, à la réorienter graduellement dans le sens du service public, c’est à dire, dans le sens d’une réflexion ou d’une action visant à mieux positionner ce tout nouveau système médiatique qui peut enfin aspirer à sa propre renaissance, afin qu’il puisse répondre autant que possible, à un ensemble d’angoisses de notre population et qu’il puisse surtout, relever certains défis notamment, sociaux et culturels.
Pradel Henriquez en a profité pour annoncer la mise sur pied prochainement d’un journal papier qui sera à la fois en ligne et sur support papier dur tel que ce type de média tend malheureusement à disparaître chez nous à cause du climat délétère en général. Il estime donc que si la presse sur papier disparaît, comme c’est le cas lentement pour d’autres formes d’arts et de créations en Haïti, ce sera automatiquement un danger pour le livre lui-même et pour la lecture en général.
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