Le football. Quel sport merveilleux ! Le Réseau haïtien des journalistes de la santé (RHJS), depuis le début de la phase finale de la coupe du monde 2022, au Qatar, est présent sur Internet. À travers les mordus du ballon rond que sont ces membres : Wegherley Joseph, Louiny Fontal et Jobenson Andou, le réseau fait monter dans notre corps, les hormones du bonheur. Que ce soit la sérotonine ou la dopamine, ça circule, ça sécrète de la bonne énergie avec Wegherley, Louiny et Jobenson. Ce trio d’animateurs crée de la bonne ambiance, allume la chaîne Globe TV 24 sur Facebook. C’est la fièvre tous les jours.
À chaque but marqué, le studio de Globe TV 24 tremble. Goooooooooal!!!! Tout stress s’évanouit. C’est le cri primordial de l’homme qui se jette dans un bassin de joie en communiant avec les stars du moment : les joueurs qui s’activent sur le terrain rectangulaire. Ils ont le même objectif : loger au fond des filets de l’équipe adverse le plus de buts possibles pour remporter la victoire.
Deux équipes s’affrontent. Onze joueurs de chaque côté suivent les consignes d’un entraîneur. Toute une stratégie se déploie à travers ces corps devenus instruments de lutte pour un pays. Un motif de fierté pour une nation.
Pour illustrer, le prince saoudien a fait vivre un conte de fée à son équipe. Après la victoire de son pays contre l’Argentine de Léo Messi, il a offert, à chaque joueur, une Rolls-Royce Phantom d’une valeur de 500 000 euros.
Fermez vos yeux. Imaginez l’effet positif que la générosité d’un prince peut provoquer dans le coeur de la jeunesse de son pays. Ce geste traduit la valeur de chaque ambassadeur de l’Arabie Saoudite à ses yeux. En effet, partout sur la planète, notamment en Haïti, nos jeunes ne parlaient que de cette victoire et de ces récompenses fabuleuses qui font scintiller des étoiles dans leurs yeux.
Le sport, définitivement, c’est bon pour la santé. C’est divertissant et enrichissant. Le RHJS participe à ce baume de bien-être considéré comme un ouf de soulagement thérapeutique en ces temps troublés où les armes, aux mains de nos jeunes, chantent sur des terrains de jeu que sont devenus les rues, les quartiers, les communes de notre pays.
Claude Bernard Sérant