Appel au secours d’urgence de l’hôpital Nos Petits Frères et Sœurs et la Fondation Saint-Luc

Pénurie de carburant

SOS. C’est un appel d’urgence au secours. L’Organisation Nos Petits Frères et Sœurs (NPFS) et la Fondation Saint-Luc (FSL) portent à la connaissance des autorités de l’État que les Hôpitaux Saint-Damien et Saint-Luc, ainsi que le centre de Physiothérapie Sainte Germaine sont menacés de cessation de leurs activités pour cause de carburant.

À cause de non-disponibilité régulière de carburant depuis plusieurs mois et en raison des récents troubles sociaux dans le pays, la réserve stratégique de carburant disponible à la Centrale Énergétique “SMART GRID” de la Fondation Saint-Luc, approvisionnant ces deux hôpitaux et le Centre de physiothérapie en énergie électrique, est presque épuisée.

Aussi les responsables de NPFS et la FSL lançent-ils un SOS aux principaux fournisseurs de carburant pour permettre le renflouement crucial de leur réserve pour la garantie de la poursuite des services de pédiatrie pour plus de 153 enfants hospitalisés et pour plus de 47 femmes enceintes à la maternité de l’hôpital Saint-Damien; de soins urgents et d’hospitalisation pour plus de 70 adultes y compris des soins de traumatologie à l’hôpital Saint-Luc.

Faute de renflouement immédiat, ils n’auront guère le choix que de constater l’arrêt prochain des services de soins au niveau des deux hôpitaux (Saint-Luc et Saint-Damien) et le Centre de Physiothérapie Sainte Germaine de NPFS.

À cette situation, s’ajoute la disponibilité de leurs employés fortement affectée par l’impact de cette énième crise de carburant sur le transport en commun.

L’Organisation Nos Petits Frères et Sœurs et la Fondation Saint-Luc élèvent leurs voix pour  demander  aux autorités étatiques, au secteur privé des affaires et aux particuliers, de faciliter rapidement un couloir de livraison de carburant non seulement aux hôpitaux Saint-Luc et Saint-Damien, mais aussi à tous les hôpitaux concernés par cette crise persistante d’approvisionnement en carburant. C’est un SOS.

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